Fin d'une année, fin d'une décennie. Retour en images, en textes, en sensations et en émotions sur la cuvée cinéma 2019. D'Hamaguchi à Eggers, en passant par Gray et Llinas.
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Vrai-faux La Haine 2019, ce film de son époque est aussi un essai éminement philosophique sur un sujet sociétal majeur : le pouvoir d'une image et ses conséquences.
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Des gangsters, De Niro, Pesci, Pacino, une durée gargantuesque et un budget encore plus énorme : The Irishman avait des airs de film ultime pour Scorsese - où est-il justement un peu plus que ça ?
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Tour de force technique avant tout, The Lighthouse avait sû générer de forces attentes : le buzz passé, le résultat vaut-il un peu plus que le tour de passe-passe égocentrique ?
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Eddie, Dov, Yvan et les autres… Nos chaleureux amis ont migré du Sentier moribond à la banlieue florissante d’Aubervilliers… Là où les vieux entrepreneurs juifs ont laissé le terrain à de jeunes grossistes chinois courageux et dynamiques…
La petite bande est toujours aussi soudée, solidaire que lors des épisodes précédents, et la vie suit son cours, au gré des petits évènements familiaux et des affaires.
Dov semble toujours frivole, Eddie entreprenant, Yvan transi, Karine désinvolte, Sandra résolue, Chochana naïve, Serge irresponsable et mythomane. Quant à Patrick, il est amoureux et l’heureuse élue est loin d’être facile d’accès.
Tout irait pour le mieux jusqu’à ce qu’un vent mauvais apporte son lot d’adversité compromettant sérieusement la cohésion du groupe.
Succomberont-ils sous l’orage à la zizanie, ou bien, une fois de plus, à force d’entraide, de ruses et d’habileté, triompheront-ils de la crise avec panache ?
Peut-être que le fait que ce soit la première fois que je vois l'un des épisodes de La Vérité si je mens ! a t-il fait que je n'ai pas compris toutes les références ? (en tout cas il y en a, du moins à Rabbi Jacob avec la phrase "Quoi ? Salomon n'est pas juive ?" qui m'a tout de suite rappelé l'un des meilleurs films de De Funès. Alors bon. Pour en revenir au nouveau film de Thomas Gilou, j'ai pas aimé. Pas que ce soit nul (quoi que...) mais juste que je n'ait pas souris devant ce qui m'a parut comme un humour de beauf destiné à un public mega-populaire et qui finalement se démarque du lot seulement parce que c'est le troisième volet d'une saga ayant reçu un certain succès.
Globalement c'est très con, tant au niveau de l'intrigue cousue de fil blanc que des personnages aussi comiques et charismatiques que des pinces à linge. Ne parlons pas du quintette d'acteurs principaux qui ne sauve pas le film de son humour très léger. Et puis le méchant... le méchant encore plus ridicule que les protagonistes avec un mobile et un plan aussi machiavélique et intelligent que sa bêtise. Mais bon, ça reste assez évident que ça reste destiné à la majeur partie du peuple et que la réflexion et la complexité étant généralement boudée par notre population plutôt avide de personnages simples et d'humour lourd, donc on peut pardonner ça. C'est surtout le fait que, même si j'aime bien parfois l'humour lourd (prenons l'exemple des frères Farrelly outre-atlantique, mais pour rester dans l'hexagone je reste un grand fan de La Folie des Grandeurs).
Pour faire court, on a déjà vu 500 fois ce genre de comédies avec des scènes déjà vues (celle de la dégustation des mets chinois qui depuis Les Bronzés font du ski a été reprise trop de fois pour que ça reste un hommage et qu'on en rigole plus), ça reste aussi lourd qu'un Camping et plutôt chiant si on rigole pas. Je ne critique pas les goûts des amateurs, et je comprends qu'on puisse aimer ce genre de film, mais moi j'aime pas. Du tout. Pas un navet mais c'est trop lourd et cocorico pour moi.
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